CHRISTINE NORMANDIN À LA DÉFENSE DE LA GESTION DE L’OFFRE
Saint-Jean-sur-Richelieu, le 28 février 2020 – Christine Normandin, députée de Saint-Jean à la Chambre des communes et leader parlementaire adjointe du Bloc Québécois est fière d’appuyer le projet de loi présenté par le Bloc Québécois afin de protéger la gestion de l’offre au Québec advenant de futures négociations commerciales. Les députés bloquistes ont déposé sept projets de loi au cours des dernières semaines afin de défendre les intérêts du Québec.
« Dans Saint-Jean, la protection de la gestion de l’offre est très importante pour nos producteurs de lait, d’œufs et de poulet. C’est une question qui a été incontournable durant la campagne électorale et depuis mon élection », explique Christine Normandin.
Lors de la négociation de l’ACEUM, le gouvernement a renié sa parole et a signé des accords sur le dos des producteurs sous la gestion de l’offre. Le projet de loi du Bloc Québécois permettrait d’empêcher le gouvernement fédéral de prendre des engagements, par traités ou par ententes en matière de commerce international, qui aurait pour effet d’affaiblir la gestion de l’offre du Québec.
Le Bloc dépose sept projets de loi pour défendre les intérêts du Québec
Le projet de loi sur la protection de la gestion de l’offre fait partie des sept projets de loi déposés par les députés du Bloc Québécois en février.
Les projets de loi en question porteront sur :
1. Le retrait du Québec de la Loi sur le multiculturalisme ;
2. L’obligation des résidents permanents habitant au Québec de démontrer une connaissance suffisante du français ;
3. L’obligation du Canada à respecter ses engagements en environnement lorsqu’il a signé l’Accord de Paris ;
4. L’instauration d’un rapport d’impôt unique québécois ;
5. L’obligation du Canada à respecter les lois du Québec et les règlements municipaux en ce qui a trait à l’aménagement du territoire et de l’environnement ;
6. L’obligation du Canada à ne plus ouvrir de brèches dans la gestion de l’offre ;
7. L’augmentation des prestations spéciales de maladie de l’assurance-emploi de 15 à 50 semaines pour les gens atteints de maladies graves.
« Nous avons été élus pour faire des gains pour le Québec, c’est ce que nous ferons », conclu la députée de Saint-Jean.