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CHRISTINE NORMANDIN AU TRAVAIL POUR LA RIVIÈRE RICHELIEU

Saint-Jean-sur-Richelieu, le 14 juillet 2020 – Christine Normandin, députée de Saint-Jean à la Chambre des communes et leader parlementaire adjointe du Bloc Québécois continue son travail pour faire avancer le dossier de la rivière Richelieu. Après plusieurs rencontres avec les acteurs locaux, la députée a fait l’annonce, conjointement avec d’autres députés de la région, de l’embauche de quatre nouveaux employés d’été au Comité de concertation et de valorisation du bassin de la rivière Richelieu (COVABAR).

 

Lors de la campagne électorale de 2019, la députée de Saint-Jean s’était engagée à travailler pour améliorer la situation de la rivière Richelieu. Depuis de nombreuses années, le Richelieu connaît plusieurs problèmes (érosion des berges, navigation irrespectueuse, qualité de l’eau qui périclite, etc) qui affectent la qualité de vie des citoyens habitant ses rives.

 

« Quand je me suis présentée comme candidate aux dernières élections, il était clair pour moi que le dossier de la rivière Richelieu serait l’une de mes priorités de députée. Je souhaite vraiment pouvoir faire une différence pour la rivière, ses riverains et l’ensemble de la région ! », affirme la députée de la circonscription de Saint-Jean.

 

À la suite de l’élection de Christine Normandin et des 31 autres députés du Bloc Québécois, un groupe de travail régional a été mis en place afin d’aborder les enjeux à court et long terme du Richelieu pour le protéger et le mettre en valeur. Ce groupe de travail rassemble tous les députés du Bloc Québécois dont le cours d’eau traverse la circonscription : Christine Normandin (Saint-Jean), Yves-François Blanchet (Beloeil-Chambly), Xavier Barsalou-Duval (Pierre-Boucher-Les Patriotes-Verchères), Stéphane Bergeron (Montarville) et Louis Plamondon (Bécancour – Nicolet – Saurel).

 

Pour sa part, Christine Normandin a fait la rencontre du Mouvement écologique du Haut-Richelieu, de l’Association des riverains et amis du Richelieu, le groupe de travail de la Commission mixte internationale, ainsi que des conseils municipaux de Sainte-Anne-de-Sabrevois et de Saint-Blaise-sur-Richelieu afin de prendre connaissance des enjeux concernant le cours d’eau. En raison de la COVID-19, la tournée des conseils municipaux se poursuivra ultérieurement. « Le Richelieu fait partie du quotidien de nombreux résidents et travailleurs de la circonscription de Saint-Jean. Il faut prendre le temps d’écouter les acteurs du milieu afin d’avancer des solutions sensées et efficaces », explique la députée.

 

Emploi d’été Canada

Le financement pour les quatre emplois d’été a été accordé au Comité de concertation et de valorisation du bassin de la rivière Richelieu (COVABAR) via le programme Emplois été Canada. Les députés bloquistes étaient par ailleurs en visite au COVABAR le lundi 29 juin pour en faire l’annonce.

 

Ces employés auront notamment pour tâche la sensibilisation des plaisanciers et des pêcheurs à la règlementation à respecter afin d’assurer le succès reproductif des espèces de poisson en péril dans la rivière Richelieu. Des projets de sensibilisation des producteurs agricoles, de caractérisation en milieu naturel, ainsi que de stabilisation de berges par des techniques de génie végétal et de plantation en bande riveraine seront aussi menés.

 

« Je suis convaincue que ces employés sauront faire une différence au sein du COVABAR. Je crois que c’est un bel investissement pour le Richelieu et pour notre région. », témoigne la députée Christine Normandin.

 

En terminant, le porte-parole du Bloc Québécois en matière de transport, Xavier Barsalou-Duval a déposé en 2019, en collaboration avec l‘Association des riverains et amis du Richelieu et au nom des municipalités visées, une demande de restriction de vitesse au Bureau de la sécurité nautique. Cette restriction s’appliquerait sur les sections de la rivière couvrant le territoire de Saint-Marc, Saint-Charles, Saint-Antoine et Saint-Denis-sur-Richelieu. Actuellement, l’analyse de la demande a été effectuée et ses conclusions ont été transmises à Transport Canada. Une publication à cet effet pourrait avoir lieu dans la Gazette du Canada au à l’automne 2020 ou au printemps 2021.